Nicolas DAUTRICOURT

Nicolas DAUTRICOURT est sans conteste l’un des violonistes français les plus brillants et les plus attachants de sa génération. Prix « Georges Enesco » de la SACEM, « Révélation classique » de l’ADAMI, il est membre de la prestigieuse Chamber Music Society du Lincoln Center de New York. Il se produit sur les plus grandes scènes internationales (Kennedy Center de Washington, Alice Tully Hall de New York, Wigmore Hall de Londres, Tchaïkovski Hall de Moscou, Teatro Nacional de Belém, Salle symphonique de Copenhague…) et françaises (Salle Pleyel, Théâtre des Champs-Élysées, Cité de la Musique, Musée d’Orsay, Arsenal de Metz, Opéra du Rhin, Grand Théâtre de Provence…).

 

                  Il est l’invité de nombreux orchestres, Orchestre national de France, Detroit Symphony, Sinfonia Varsovia, Orchestre symphonique du Québec, Orchestre du Capitole de Toulouse, Mexico Philharmonic, Belgrad Philharmonic, Kiev Philharmonic, NHK Chamber Orchestra, Kanazawa Ensemble, Scala di Milano Chamber Orchestra, Orchestre des Pays de la Loire, Orchestre Poitou-Charente, Orchestre d’Auvergne, sous la direction de grands chefs comme Leonard Slatkin, Paavo Järvi, Tugan Sokhiev, Eivind Gullberg Jensen, Kazuki Yamada, Yuri Bashmet, Dennis Russell Davies, Serge Baudo, Jean-Jacques Kantorow…

 

                  Il prend part à de prestigieux festivals, classiques et jazz (Lockenhaus Kammermusikfest, Ravinia, Pärnu, Davos, Sintra, Printemps des Arts de Monte-Carlo, Rencontres musicales d’Évian, Folles Journées de Nantes et de Tokyo, Jazz in Marciac, Jazz Festival de Copenhague, European Jazz Festival d’Athènes).

                  Nicolas est lauréat de plusieurs concours internationaux : Wieniawski de Poznan (Pologne), Rodolfo Lipizer (Italie) et Belgrade (Serbie). Son enregistrement consacré à Sibelius, paru en 2015 (La Dolce Volta), a été récompensé par « 4 f » de Télérama et par un « Choc » de Classica. Nicolas Dautricourt joue un magnifique instrument d’Antonio Stradivarius datant de 1713, généreusement mis à sa disposition par le mécène Bernard Magrez.